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Concernant le Bushido, on dit “Bushido – c’est apprendre comment mourir”, cela ne veut pas dire mourir en vain, mais faire de son mieux pour le monde afin de protéger la justice, et être prêt à mourir si l’on a honte de soi.

Lorsque les gens disent Ganbatte “Survivre avec tout de notre meilleur!”, on essaie instinctivement de surmonter nos adversaires de tous nos efforts, mais quand les gens disent “mourons ensemble!”, on n’essaie pas de mourir le premier en repoussant les autres, mais on se rend aux côtés de ceux qui ont besoin d’aide, et cela peut nous remplir l’esprit de joie. Cet esprit d’humanité et de pitié est le Bushido. Je crois que nous pouvons interpréter le Bushido de cette manière aussi.

Bref, je voulais dire que l’esprit de considération d’autrui est le Bushido.

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Ceci est une citation de la traduction des paroles de Matsuoka Yoshitaka Sensei, 8-dan kyoshi en iaido et 7-dan kyoshi en kendo, professeur de Shinkage ryu iaido.

Ce sont des paroles qui doivent être ressenties, pas uniquement lors de la pratique du kendo ou d'un autre art martial, mais que l'on doit faire siennes pour toute action de notre vie.

Ainsi que l'écrit avec élégance Paulo Coehlo dans son recueil de textes ("Ser como o rio que flui" soit "Comme un fleuve qui coule"), "[...] sache que tout ce que tu feras dans la vie laissera des traces, et efforce-toi d'être conscient de tous tes actes."

Je ne prétends avoir atteint une quelconque paix intérieure (au moins pour l'instant, mais j'ai le droit d'espérer, après tout lorsque Pandore a ouvert sa fameuse boite, elle a certes répandu sur la Terre et les hommes le malheur, mais au fond de la boite restait l'espoir...), ni être devenue une personne meilleure ou plus attentive.

Mais je me suis promie d'essayer, rendez-vous dans 50 ans.

Un message de Matsuoka Sensei

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